Rassurez-vous, cette question semblait légitime en 1928 mais, depuis, les choses ont quand même évolué un peu...Malgré tout, jetez un oeil à la qualité de ces illustrations.
JBB 250 (vue côté droit). Le segment du bas forme un vrai triangle de suspension inférieur. Il est symétrique et visible des deux côtés de la roue. Cette symétrie d'accrochage sans porte-à-faux permet de concevoir un triangle de très faible section. Le segment du haut est le triangle supérieur. C'est lui qui agit sur l'amortisseur. A côté du triangle supérieur on aperçoit la biellette de direction.
Yamaha 1000 GTS (vue côté gauche). Le segment du bas est ici un MONOBRAS. C'est un bras oscillant qui dégage la roue du côté droit. Ce bras oscillant agit sur l'amortisseur.
Le montage de la roue en porte-à-faux entraine une forme très massive de ce bras.
Une Motobécane 350
et une Gnome-Rhône 250.

Un parallélogramme est un quadrilatère particulier. Il est tel que les côtés opposés sont parallèles deux à deux. On peut dire aussi qu'un parallélogramme est un quadrilatère qui a un centre de symétrie.